Il n’est pas courant que l’alopécie areata soit transmise des parents aux enfants, mais cela reste possible. Une étude de Blaumeiser et al. (2006) a révélé que le risque pour un enfant de développer une alopécie areata au cours de sa vie n’était que de 5,7 % si sa mère ou son père en était atteint. Ce chiffre est légèrement supérieur au risque d’incidence à vie de 2 % pour les personnes qui n’ont pas de parents atteints d’alopécie areata.